36 % de baisse des émissions de gaz à effet de serre (GES) entre 1990 et 2023 en Europe. Cela traduit les nombreux efforts réalisés dans l’ensemble des domaines par les pays. Cependant, la France reste le 3e émetteur de GES en Europe, derrière l’Allemagne et l’Italie, et ces émissions ont des conséquences.
450 ppm (nombre de molécules du gaz à effet de serre considéré par million de molécules d’air), c’est la concentration de carbone dans l’atmosphère que nous allons atteindre dans les années à venir, ce qui dirige le monde vers une augmentation de la température moyenne de + 2° d’ici 2100 !
+ 4° d’ici à 2100 en France : cette hypothèse impacterait notre territoire qui devrait connaître chaque année entre 40 et 50 nuits au-dessus de 20°, entraînant de multiples épisodes caniculaires et renforçant les effets d’ilots de chaleur urbain.
1 mois : entre 1970 et aujourd’hui, les premières vendanges ont un mois d’avance en Alsace et en Champagne. C’est un exemple concret et observable par tous du réchauffement climatique induit par les GES.